Quand je serai petite…

Vous l’avez peut-être remarqué, la majorité des recettes que je partage ici avec vous depuis la création de ce nouveau blog sont vegan. Moi, je ne le suis pas. Mais je trouve que c’est une cuisine extrêmement riche d’idées, qui me sortent de mon quotidien végétarien, avec mes petites habitudes et mes produits fétiches… Alors je continue sur ma lancée 🙂

La recette que je vous propose aujourd’hui est tout simple et juste comme je les aime : un plat complet gourmand et nourrissant, un peu « doudou » grâce à sa très onctueuse crème aux haricots blancs, mais relevé d’épices et de tomates juteuses rôties au four… Miam !

Vous me suivez ? 🙂

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Je n’ai jamais beaucoup aimé l’automne. Oui, bien sûr, les arbres deviennent magnifiques, on peut jouer avec et les feuilles qui tombent (oui, même à 30 ans ! 🙂 ), les potimarrons, butternut & autres courges gourmandes reviennent sur les étals… mais ressortir les pulls, les écharpes, les parapluies, je trouve ça assez déprimant…

Paradoxalement, j’aime bien la rentrée, et toutes ses promesses. Certaines seront tenues, d’autre pas, c’est la vie, mais il y a à mes yeux une vraie énergie dans ces quelques jours ou semaines qui viennent clore l’été… Et cet année plus encore que les autres – pour moi – car j’ai pris la décision de reprendre des études en plus de mon travail. Me voilà donc partie pour un Master à distance Littérature d’Enfance et de Jeunesse !

Alors comme je ne peux pas lutter contre le cycle des saisons, autant l’accueillir, l’automne, même si je ne l’aime pas trop. Glisser au four de la courge butternut, des patates douces, du panais, des carottes, quelques mirabelles, parsemer le tout de parmesan végétal et de noisettes… Défier la pluie et courir sauter dans les flaques ! S’assoir près de la fenêtre avec un livre, une veste doudou toute chaude et un bon morceau de gâteau… Allez, ok l’automne, je t’aime bien quand même 🙂

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Alors là, autant vous le dire tout de suite : cette recette s’adresse aux gourmand(e)s de chocolat ! J’y ai mis du chocolat pâtissier, des chunks de chocolat noir & un glaçage (au chocolat, vous avez suivi !). Et puis des myrtilles aussi, quand même, 5 fruits et légumes tout ça… 🙂 Et – en toute honnêteté – il est ultra méga bon ! C’est dit.

Pour cette recette, je me suis inspirée du Bundt Cake choco-noisette de Marie Laforêt dans son livre « 25 desserts vegan », que j’ai également réalisé dernièrement pour un brunch ! J’ai eu envie de m’approprier la recette et d’en faire un gâteau répondant à toutes mes envies de gourmandise… Il n’y a rien de tel que de commencer la journée avec une bonne part de gâteau 🙂

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Depuis plusieurs mois, le chou kale (se prononce « keyle ») est THE ingrédient sur les blogs à tendance green / veggie / vegan / bio / santé…, bref ! chez les gourmand(e)s qui s’intéressent au goût, mais pas que. Et comme je suis curieuse et que j’ai toujours envie de goûter ce que je ne connais pas, j’ai voulu tester, forcément ! 🙂

Bon, déjà, avant de tester, il a fallu en trouver… J’ai rencontré le kale pour la première fois sous forme de chips à la betterave et à l’acerola dans un petit sachet qui coutait un bras, trouvé dans un restaurant végétarien sur le pouce à Paris. J’ai trouvé le goût plutôt sympa, certes, mais pas de quoi dépenser autant non plus, non non non… Et puis (enfin ! parce que ce n’est pas faute d’avoir cherché…), j’ai trouvé du kale frais, pour le cuisiner comme j’avais envie !

1er essai : les fameuses chips de kale ! Des feuilles simplement cuites au four à basse température. Euh… Bon, j’ai été plus que moyennement convaincue, je dois le dire ! Difficile de faire cuire correctement sans brûler les feuilles, bref… disons qu’on les a mangées juste pour ne pas le jeter. Et puis, à Barcelone, dans un super restaurant végétarien (à forte tendance vegan) dont je vous parlerai une prochaine fois, j’ai goûté des chips de kale différentes, avec un enrobage croustillant, un goût acidulé, légèrement piquant… Trop bon ! Alors j’ai eu envie d’essayer de reproduire la même chose chez moi. Et voilà ce que ça a donné…

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Quand je pense à tous ces gens qui croient encore que les végétariens ne mangent que de la salade et des carottes (crues, parce que bon…), je rigole toute seule 🙂 Si j’avais un peu de compassion, je pourrais partager avec eux de délicieux veggie burger… Surtout quand ils sont croustillants, et moelleux, et fondants, et puis avec plein de bonnes choses dedans (et à côté !). Mais en fait hum… non, je vais tout garder pour moi mwahaha !

J’adore les veggie burgers ! Quand j’en trouve dans un resto – végétarien ou non – c’est toujours ce que je choisis ! Avec plus ou moins de succès, parfois… Ce n’est pas parce que le concept est simple, que le résultat est bon. C’est le choix des ingrédients qui change tout. Mon must ultime vite fait bien fait ? Un peu de sauce au poivre, une tranche de Leerdammer et un œuf au plat tout doré qui fait fondre le fromage… Et quand vous appuyez sur le pain du haut, tout coule… Rhaaaa, j’adore ! 🙂

Mais ce dont je voulais vous parler, en vrai, c’est de mon chouette veggie burger « Tour du Monde » ! Avec une base d’avocat aux saveurs mexicaines, des steaks de falafel maison, du fromage frais de brebis & de la roquette. Mioum mioum !

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J’avais envie de (re)commencer ce blog avec une recette devenue culte dans ma cuisine : dès que mon petit bocal à cookies est vide… hop ! je ressors mon cul de poule, mon huile de coco, mon chocolat, mon pralin… et c’est parti ! C’est vous dire à quel point ces petits gâteaux sont addictifs…

Addictifs et vegan, donc ! Bien que n’étant pas vegan moi-même, c’est une cuisine que je prends de plus en plus de plaisir à découvrir donc ne vous étonnez si croisez de plus en plus de recettes vegan par ici… Ne prenez pas peur non plus, il faut parfois des ingrédients très spécifiques mais je vous promets que ce sont de bons investissements 🙂

Bref, tout ce que vous devez retenir de cette recette – très inspirée de celle trouvée ici – c’est que c’est un pur bonheur en bouche, croustillant, fondant, chocolaté, avec un bon goût de noix de coco et de pralin qui « crunch » à peine sous la dent… Le tout réalisé en moins de 15 minutes chrono. Quoi, vous n’êtes pas encore en cuisine ? Moi j’y retourne… 🙂

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