Quand je serai petite…

2016 will rock ! ☆
C’est comme ça, j’ai décidé.

Parce que – naïvement peut-être – j’ai envie de croire qu’il suffit d’avoir envie pour réussir. Parce qu’avoir envie, c’est se donner les moyens, non ?

Alors, pour débuter l’année, pas de vœux, pas de résolutions, juste un inventaire à la Prévert de mes envies, un peu pêle-mêle, quelques objets, quelques idées… L’envie de partager.

☆ Je suis ce que l’on appelle une control freak. Tout le temps dans le contrôle, la maitrise, le perfectionnisme. Et c’est épuisant. Bon… Ceci étant dit, j’ai beau rester calme et être une licorne, je ne vais pas non plus vous faire croire que je suis capable de changer ça, hein 🙂 Mais faire un pas vers un ailleurs, oui. Avec ce livre trouvé dans une petite boutique parisienne absolument adorable : La Petite Epicerie. (suite…)

Noël approche et vous n’avez toujours pas de sapin ? Peut-être parce que vous n’avez pas la place dans votre petit chez-vous… ? Ou que la perspective de le monter (puis de le redescendre, et ça c’est encore moins chouette…) sur 5 étages ne vous fait pas rêver… ? Pas de panique ! J’ai LA solution 🙂 Qui fonctionne aussi si vous n’avez pas envie de faire « comme tout le monde »… mais que vous êtes quand même attaché(e) à Noël. Bref ! toutes les raisons sont bonnes 🙂

J’ai réalisé ce sapin à Noël dernier, après avoir vu ce très chouette tuto sur Dawanda ! J’étais partie pour créer quelque chose de semblable, et puis… j’ai décidé de simplement m’en inspirer. Pour en arriver à ce résultat… 🙂

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« On trouve des bouts de papier un peu partout dans la maison, en piles ou collés à divers endroits. Des listes de course gribouillées à la va-vite, des recettes, des numéros de téléphone et des rendez-vous, des rappels d’évènement. Ma mémoire en papier. C’est censé m’aider à ne plus oublier, mais, d’après ma fille, je perds aussi les bouts de papier – ça aussi je l’écris. En tout cas, si Elizabeth m’avait appelée, ce serait marqué. Je ne peux pas avoir perdu tous mes petits mots. Je passe mon temps à en écrire. Ils ne peuvent pas tous être tombés de la table, du plan de travail et du miroir. C’est alors que j’en retrouve un coincé dans ma manche : Pas de nouvelles d’Elizabeth. La date qui est inscrite sur le côté n’est pas récente. Soudain, j’ai le sentiment affreux qu’il lui est arrivé quelque chose. »

Des bouts de papier. Dans ses poches, dans ses tiroirs, sur la table. Partout. Voilà ce qui rythme la vie de Maud, veille dame de 82 ans, souffrant – même si le mot, le drame n’est jamais prononcé – de la maladie d’Alzheimer. A peine a-t-elle prononcé une phrase, qu’elle perd le fil. De qui parle-t-elle ? A qui parle-t-elle ? Pourquoi la reprend-on sans cesse comme une enfant ? Elle sait ce qu’elle dit quand même. Elizabeth a disparu. Elle est en sûre. Elle l’a écrit. Partout. Elizabeth a disparu.

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On ne croirait pas, à le voir comme ça, qu’il y a tant de bonnes choses dans ce petit gâteau… Et pourtant !

Il y a quelques semaines de ça, j’ai découvert le blog de Maeva, et ses jolies gourmandises… Et il se trouve que Maeva est la marraine du Foodista Challenge #13. M’étant éloignée de la blogosphère culinaire pendant de longs mois, je ne connaissais pas ce défi, pourtant à l’origine de délicieuses idées ! Alors j’ai hésité un peu et puis… je me suis laissé tenter ! Très certainement parce que le thème a allumé une petite ampoule gourmande dans ma tête ! Et je ne vous parle même pas du dessin choisi par Maeva… 🙂 (suite…)

« Ophélie était une excellente liseuse, l’une des meilleures de sa génération. Elle pouvait déchiffrer le vécu des machines, strate après strate, siècle après siècle, au fil des mains qui les avait tâtées, utilisées, affectionnées, endommagées, rafistolées. Cette aptitude lui avait permis d’enrichir le descriptif de chaque pièce de la collection avec un sens du détail jusqu’alors inégalé. Là où ses prédécesseurs se cantonnaient à décortiquer le passé d’un ancien propriétaire, de deux à la rigueur, Ophélie remontait à la naissance de l’objet entre les doigts de son fabricant. »

Ophélie, jeune fille maladroite et réservée, vit sur l’arche d’Anima. Là, son talent de liseuse a fait d’elle une conservatrice hors-pair du musée de l’arche. En touchant les objets, Ophélie est en effet capable de lire leur histoire, et celle de ceux à qui ils ont appartenu… La seule chose que la jeune fille est incapable de lire, c’est le livre d’Artémis, l’esprit de familles d’Anima, pièce majeure, emplie de secrets, de ce musée qui est devenu tant sa maison que sa cachette. Ici, elle peut être elle-même. (suite…)

Vous savez à quoi on reconnait un bon ami ? C’est celui sur lequel on n’a pas peur de tester des plats… Oui oui, comme un cobaye. Mais volontaire. Et qui n’a peur de rien. Pas même d’une mousse au chocolat avec du jus de pois chiche dedans. C’est pour dire ! 🙂

Parce que moi, quand j’ai découvert qu’on pouvait faire des « blancs en neige » avec du jus de pois chiche plutôt qu’avec des œufs, et ben j’ai eu envie d’essayer, forcément ! Découvrir la recette chez Clea m’a confortée dans mon envie de goûter… Parce que Clea, moi, je lui fais toujours confiance.

Du coup, au lieu de tester la recette « basique » (enfin, façon de parler 🙂 ), j’ai choisi tout d’abord de tester celle de Clea, qui vient y ajouter du tofu soyeux. C’est d’ailleurs chez elle que je me suis familiarisée avec cet ingrédient il y a quelques années de ça ! J’ai ajouté à ma mousse des zestes de citron vert et zou ! Et bien c’était bon, mais j’étais quand même un peu déçue… Parce que la texture n’était pas vraiment celle d’une mousse. Elle se rapprochait de la « simple » mousse au chocolat au tofu soyeux (sans jus de pois chiche battu en neige, donc).

Après ce test 1 sur des amis, j’ai fait le test 2 sur ma famille. Cobayes de longue date, vous imaginez bien 🙂 Cette fois, j’ai donc laissé tomber le tofu soyeux pour ne garder que le jus de pois chiche. Et j’ai ajouté des cristaux d’huile essentielle à la menthe. Et là… là… c’était juste un truc extraordinaire ! Une texture de mousse parfaite, un goût délicieux, surtout avec ce léger arôme mentholé – impossible de se douter de quoi que ce soit – et une légèreté… qui donne envie de dévorer tout ce qui reste ! Oui, même dans le ramequin du voisin… *c’est pas bien*

La mousse au chocolat aux pois chiche, je dis OUI ! Et si vous êtes sceptiques, et bien… je vous invite à tester 🙂 Parce que, de toute façon, le jus de votre boîte de pois chiche, vous alliez le jeter, non ? Alors – dans le pire des cas – vous ne perdrez que quelques minutes à le battre… Ou vous découvrirez comment faire une mousse au chocolat délicieuse, légère & vegan pour trois fois rien ! Allez, (pois) chiche ? 🙂

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La moussaka fait partie de ces plats que je n’avais jamais cuisinés. Mais ça, c’était hier 🙂 En fait, pendant très longtemps, j’ai eu du mal à comprendre l’envie de manger des choses végétariennes ou vegan ressemblant à de la viande. Sans doute parce que de la viande, moi, je n’en ai jamais mangé. Alors – évidemment – elle ne me manque pas… Et puis j’ai découvert le restaurant Tien Hiang et les protéines de soja texturé, j’ai découvert le haché végétal grâce à mon Martin, qui nous avait cuisiné des (courges) spaghettis bolo, et puis le seitan, et puis j’ai eu des envies de lasagnes, de « vraies » lasagnes, pas des lasagnes aux légumes comme j’en faisais souvent, des lasagnes à la bolognaise (végétale, naturellement) avec plein de béchamel, tout ça… Bref, il y a toujours des choses qui ne me donnent absolument pas envie, type faux-gras & cie, mais le haché végétal, lui, a trouvé sa place dans ma cuisine !

Et puis j’ai vu chez Rose Citron une recette de moussaka végétale (la mienne est végétarienne et non vegan, donc allez faire un tour chez elle si vous êtes vegan 🙂 ), dans un joli plat tout mignon, je me suis dit qu’il était grand temps que je teste ce classique de la cuisine grecque ! J’étais partie pour faire comme Rose Citron – protéines de soja texturé et tofu fumé – mais comme un paquet de haché végétal désespérait dans mon frigo, hop !

C’est pas simple de faire une jolie photo de moussaka, surtout quand l’appareil photo n’a plus de piles, que les autres ne sont pas rechargées, qu’il fait nuit, que le flash donne une couleur déprimante et qu’on n’a pas envie de manger froid… Mais j’espère qu’elle vous donnera envie quand même ! Parce que vous savez quoi ? C’était super bon ! Même Elouan qui – officiellement – n’aime pas les aubergines parce que « c’est caoutchouteux » (euh…) a adoré ! Il a même voulu me piquer mon bento du lendemain… C’est super fondant, très parfumé, ultra gourmand avec une bonne couche de béchamel et de fromage râpé : un délice !

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« Orsk était le plus grand magasin de meubles scandinaves des Etats-Unis. Ses produits aux designs contemporains étaient moins chers que ceux d’Ikea et son slogan promettait « une meilleure vie pour tous ». Surtout pour les actionnaires d’Orsk qui, chaque année, se retrouvaient au quartier général de Milwaukee, dans le Wisconsin, pour se repaitre des excellents chiffres du bilan d’exploitation de leur imitation d’Ikea. Orsk s’engageait à offrir à ses clients « tout ce qu’ils désiraient », pour chaque période de leur vie. Des berceaux Balsak aux fauteuils à bascule Gutevol. Ils ne proposaient pas de cercueils. Pas pour le moment en tout cas. »

Amy avait un objectif : quitter le mobil-home de sa mère, étudier, se construire une vie, une carrière. Les aléas de la vie en ont décidé autrement, et la jeune femme a dû renoncer à ses rêves et se résoudre à travailler chez Orsk, temple de la (sur)consommation, habilement modelé sur le principe d’Ikea. Car acheter chez Orsk, ce n’est pas dépenser de l’argent, mais adopter un style de vie moderne et confortable, entouré d’amis fabuleux, d’enfants joufflus et de petits oiseaux souriants. (suite…)

« J’ai occupé toutes les lignes de téléphone portable du centre de Londres pendant quarante-cinq minutes, au moment de la pause repas. […]
– C’est tout ? s’inquiéta Ligur. […]
Que pouvait-il leur dire ? Que l’humeur de vingt mille personnes était devenue massacrante ? Qu’on pouvait entendre jusqu’à l’autre bout de la ville le bruit des artères qui se sclérosaient ? Et qu’en rentrant, ces personnes allaient se défouler sur leur secrétaire, sur leurs contractuelles, sur tout le monde, sur des gens qui à leur tour allaient se défouler sur d’autres individus ? Par une avalanche de mesquineries qu’ils allaient – et tout l’intérêt de la manœuvre reposait là – qu’ils allaient inventer tout seuls ? Pendant le reste de la journée. Les répercussions étaient incalculables. Des milliers et des milliers d’âmes se ternissaient un peu, sans que Rampa ait besoin de lever le petit doigt. »

L’Apocalypse aura lieu samedi prochain, après le thé ! Les forces du Bien et du Mal en ont décidé ainsi. L’Antéchrist – bébé blond joufflu – est sur Terre, et quand il fêtera ses 11 ans… ce sera la Guerre. La fin du monde tel que nous le connaissons. (suite…)

Il y a quelques années de ça, j’ai eu envie de me lancer dans la fabrication de mes propres cosmétiques… J’avais même réalisé un très chouette gommage pour le visage aux noyaux d’abricot. Et puis… je me suis arrêtée là. Pourquoi ? Parce que les recettes qui m’intéressaient nécessitaient de nombreux ingrédients et que – comme pour les loisirs créatifs – il faut au début investir dans un matériel de base. Et ce n’était pas le bon moment pour moi pour investir.

Depuis, cette idée se promène toujours dans ma tête, mais je n’ai pas refranchi le pas. Jusqu’à aujourd’hui 🙂 De passage chez Lush, j’ai eu envie de (re)craquer sur leurs gommages à lèvres. J’avais déjà testé (et adoré !) le gommage menthe-chocolat. Et puis j’ai (re)vu le prix, et je me suis rappelée pourquoi ce craquage avait été unique 🙂

Alors que – vous savez quoi ? – faire un gommage pour les lèvres ne nécessite en vérité que quelques ingrédients et – qui plus est – il s’agit d’ingrédients que nous avons a priori tous dans notre cuisine. Une recette idéale pour se remettre à la confection de cosmétiques maison, en toute simplicité… 🙂

Le gommage à lèvre est l’allié des premiers froids (et des derniers aussi !), des lèvres qui commencent à se gercer, à se couvrir de peaux mortes ni très jolies, ni très agréables… Il vous permettra de retrouver des lèvres toute douces, en toute saison !

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